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« Exclue de la classe plusieurs fois jusqu’à ce que… » : Vitaa « rebelle » à l’adolescence, elle balance tout !

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Pour Konbini, Vitaa a accepté de se livrer sans filtre sur sa scolarité. L’occasion pour l’artiste d’évoquer ses multiples « bêtises » orchestrées durant son adolescence. Mais durant cette période, elle a aussi énormément appris à bien des niveaux.

On ne la présente plus ! Dans l’industrie de la musique, Vitaa s’est brillamment imposée avec ses multiples tubes et son timbre de voix qui la distingue. A la ville, l’acolyte de Diam’s est également l’heureuse maman de trois adorables enfants qu’elle a eus avec son mari Hicham Bendaoud. Ayant l’habitude des interviews, l’interprète de Je n’oublie pas a accordé un entretien exclusif à nos confrères de Konbini. Face David Castello-Lopes aux commandes de Small Talk, Vitaa s’est naturellement confiée sur sa progéniture qui fait son immense fierté. Au cours de sa scolarité contrairement à d’autres, la principale intéressée n’a jamais fait de ses camarades des boucs émissaires.

« Je trainais avec ceux qui étaient méchants avec les autres. Mais moi je n’étais pas comme ça. Je n’ai jamais su faire ça », a précisé la grande amie de Slimane. « Ce n’est pas ma nature. Je ne suis vraiment pas quelqu’un de méchant et je déteste ça la méchanceté gratuite (…). J’avais plein de copines comme ça et je trouvais ça dégueulasse ». En véritable maman poule, Vitaa a bien évidemment sensibilisé ses deux garçons sur ce délicat sujet : « On est dans l’ère du harcèlement, c’est dur ce qu’ils vivent. J’essaie de les éduquer pour qu’ils n’aient pas cette fibre là. Et que même s’ils trainent avec des gens comme ça, qu’ils réagissent ! Mon fils le plus petit, qui a huit ans, il a une âme de justicier j’aime trop (…) ! ».

« La nuit, on s’échappait… »

Rebondissant sur ses expériences personnelles, David Castello-Lopes a donc voulu en savoir plus : « Tu dis que tu étais en rébellion quand tu étais au collège. Tu as fais quoi par exemple ? ». « Des exclusions (…) pour insolence avec une prof et aller loin : à se lever, à crier » a avoué Vitaa qui fut un temps adepte de l’école buissonnière. « Exclue de la classe plusieurs fois jusqu’à ce que le CPE t’exclut trois jours. Après de plus grosses bêtises un peu plus tard à cause de mauvaises fréquentations ». Avec philosophie, la star a aussi ajouté : « Je ne suis pas fière de cette période là et à la fois (…) je pense qu’un enfant parfois, il faut le laisser comprendre tout seul qu’il sort du bon chemin pour qu’il revienne ».

Se replongeant dans de multiples souvenirs, Vitaa estime d’ailleurs « qu’on ne peut pas empêcher quelqu’un de faire des conneries ». « J’en ai fait pas mal. Je partais de la nuit de chez mes parents », a rapporté l’artiste qui a d’ailleurs grandi « à la campagne ». »On avait des scooters (…) on était dans un endroit où il n’y avait pas de transports en commun. La nuit, on s’échappait. Mon frère, il faisait pareil. On poussait nos scooters dans la descente pour ne pas que mon père n’entende et on portait pour aller rejoindre nos potes ». Craignant de réveiller leur père, le duo attendait « d’être en bas du virage pour démarrer ». « Parce qu’on savait qu’il allait entendre. Des bêtises de campagne », a ainsi conclu Vitaa qui reconnait que l’éducation stricte de son paternel lui a évité de sombrer dans la délinquance.

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