J’économise 700 euros par mois en vivant sur un bateau mais je n’avais pas prévu cet énorme inconvénient
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Vivre sur un bateau attire de plus en plus d’aventuriers en quête de liberté. Que ce soit sur une péniche aménagée, un yacht confortable ou un voilier prêt à fendre les vagues, les choix sont nombreux et les rêves infinis. Même à quai, il évoque déjà l’évasion, offrant un refuge pour échapper à l’agitation du monde. Mais avant de larguer les amarres et de se laisser emporter par le vent, il est crucial de se confronter à la réalité de la vie à bord. Pour cela, nombre de personnes qui ont fait ce choix de vie ont offert leur témoignage sur les avantages et les inconvénients.
Auprès du Sun, une artiste a levé le voile sur son expérience à bord d’un bateau amarré sur un canal. Une mode de vie qui lui permet d’économiser jusqu’à 700 euros par mois. Shannon Lane, âgée de 29 ans, a troqué sa chambre londonienne contre un bateau de neuf mètres de long, partageant son espace avec son fidèle compagnon à quatre pattes, Gilbert.
Une jeune femme qui a fait le choix de vivre sur un bateau plutôt que dans un appartement
La décision est survenue lorsque son loyer a grimpé en flèche. En tant qu’artiste indépendante et productrice de vidéos, Shannon a opté pour un prêt de 28.000 euros pour acquérir son bateau. Aujourd’hui, elle débourse environ 350 euros par mois pour le rembourser. Depuis son installation, sa santé mentale s’est transformée, laissant derrière elle les tumultes de l’anxiété et de la dépression.
Évoluer de la terre ferme à une vie flottante demande une adaptation particulière, mais dans la communauté des Narrowboats, la solidarité est de mise, chaque voisin se présentant avec un sourire amical, ainsi que l’a rapporté la jeune femme. Shannon Lane, qui sillonne les canaux sans payer d’amarrage, souligne l’importance de maintenir le réseau fluide pour que chacun puisse découvrir les diverses facettes des voies navigables. Malgré ses déplacements constants, cette exploratrice intrépide offre un regard nouveau sur Londres.
Une nouvelle vie sur un bateau qui n’a pas été sans complication
Naviguant vers des quartiers huppés tout en économisant une fortune sur le loyer, Shannon explore les rives de Regents Park et Little Venice. Mais dans cette aventure fluviale, l’hygiène quotidienne n’est pas aussi glamour qu’on pourrait le croire, avec la corvée peu reluisante de vider les toilettes à cassette, laissant derrière elle une odeur persistante. « Vous pouvez imaginer l’odeur », a confié Shannon.
La jeune femme a souligné l’importance cruciale du charbon pour affronter les rudes hivers londoniens à bord de son étroit navire, où un bon poêle à bois devient son salut. Et la vie sur l’eau n’est pas sans dangers, comme en témoigne l’épisode où sa péniche a failli chavirer pendant son sommeil à cause de cordes trop serrées. Heureusement, elle a pu réagir à temps, desserrer les cordes et retrouver la sécurité de son lit au milieu de la nuit.
Le bateau, un mode de vie qui séduit de plus en plus en France
De plus en plus de Français sont séduits par l’idée de vivre sur l’eau, un engouement exacerbé par la crise sanitaire qui a ravivé le désir de liberté et de connexion à la nature. Opter pour une péniche offre une échappée loin de l’agitation urbaine, un havre de paix bercé par les saisons et le doux clapotis de l’eau, avec des terrasses offrant des vues imprenables sur la ville ou la nature.
Sans les tracas de la copropriété, cette vie nomade permet de larguer les amarres à volonté. Et avec un prix au mètre carré bien inférieur à celui d’un appartement classique, sans les frais de notaire ni d’acquisition associés, ce choix devient une réalité financièrement accessible, faisant de la péniche un symbole de liberté et de tranquillité pour beaucoup.
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