La magie d’Anticosti est de retour pour les chasseurs
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RIVIÈRE BELL | Plusieurs observateurs affirment au cours des dernières semaines que le cerf de Virginie, ou chevreuil dans le langage populaire, est véritablement de retour sur l’île d’Anticosti. Après y avoir effectué un séjour de chasse à la fin septembre, je me joins à ceux qui disent que le cerf domine à nouveau la forêt anticostienne.
En compagnie de mes fidèles compagnons de chasse, je me suis rendu au pavillon de la Rivière Bell, à l’est de l’île. Après un vol d’un peu plus d’une heure de Québec à l’aéroport Safari, nous y voilà. En constatant les résultats de chasse des différents groupes que nous remplaçions, nous nous sommes mis à rêver. Nous allions enfin vivre ces multiples rencontres comme au bon vieux temps.
Notre guide pour cette aventure, Gaston Henley, qui sillonne le secteur Bell depuis 40 ans, nous dit que oui, la chasse est bonne. Il nous raconte que le groupe précédent a réalisé un score parfait. Grâce à sa connaissance très approfondie du territoire, il nous explique que nous aurons de très beaux territoires de chasse très productifs, avec des terrains où les cerfs aiment vivre en septembre.
En arrivant au lodge, je me rends compte qu’il y a au total 28 chasseurs, ce qui représente une récolte de 56 animaux. Dans ma tête, je me dis que c’est tout un contrat, mais devant l’enthousiasme de Gaston, je m’incline et j’espère.
Surplombant la rivière Bell, le pavillon principal peut accueillir très confortablement 14 chasseurs. C’est ici que tous les services sont proposés pendant le séjour.
Photo fournie par Julien Cabana
Le bal commence
Lors de notre première matinée de chasse, nous nous sommes rendu compte que notre guide ne nous avait raconté aucune histoire.
Vous pouvez régulièrement apercevoir des cerfs le long des routes, sur les sentiers, dans les plaines, partout où vous avez accès. Le célèbre chevreuils sont un peu plus timides à l’idée de se présenter ouvertement. Ils sont assez nerveux quand ils voient le camion. Il faut dire que nous étions le troisième groupe sur le territoire.
Les femelles seules, ou accompagnées d’un ou deux petits, sont omniprésentes. Mais le fameux cerf trophée que recherchent tous les chasseurs n’est pas facile à débusquer. Il va falloir travailler différemment.
Michel Simard (à droite) avait raison d’être fier de ce magnifique huit points qu’il a récolté. Le guide Gaston Henley (à gauche) a également posé, pour immortaliser ce moment avec son chasseur.
Photo fournie par Julien Cabana
Les sentiers très bien aménagés deviennent notre porte de sortie. Après avoir réussi à récolter un premier cerf le premier matin, mon compagnon Michel Simard a accepté l’invitation du guide qui lui a proposé de terminer sa journée sur un sentier où, selon lui, un beau chevreuil avait été aperçu assez régulièrement.
Pendant que nous poursuivons notre route vers d’autres destinations, mon ami…
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