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La victoire de Nemo profite à l’Eurovision, selon les médias

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Les commentateurs des médias en Suisse et à l’étranger ont accueilli le triomphe de Nemo à l’Eurovision avec beaucoup de respect. La consécration de l’artiste de 24 ans est peut-être la meilleure chose qui pouvait arriver pour relancer le concours de l’Eurovision.

Nemo « a rappelé à l’Europe, à la planète, que la sincérité et l’humilité mêlées au talent conduisent à ces sommets que seuls des êtres d’exception savent atteindre », commente Le Journal du Jura, basé à Bienne, la ville d’origine de l’artiste non binaire.

« La victoire de Nemo n’est pas anodine », écrit Le Temps, soulignant une forme d’audace de l’artiste dans l’affirmation de soi. « Nemo n’est pas un Ignazio Cassis de la musique, il ne cherche pas à agir dans le monde sans aucun goût ni aucune forme d’aspérité; il raconte les cheminements d’une minorité, avec franchise », peut-on lire.

« Nemo a fait voler en éclats le complexe helvétique », abondent les médias ESH, mentionnant des précédentes propositions suisses « trop polies, trop sages ». « Tout en restant parfaitement fidèle à qui iel est, humble, sincère et vrai, Nemo a montré qu’on peut sortir du cadre sans le casser pour autant », précisent-ils.

Défendre une identité de genre différente n’a rien d’une sinécure, soulignent le 24 Heures et la Tribune de Genève. « A Malmö, en plus d’une chanson de qualité, « The Code », Nemo a bousculé des décennies de caractères formatés », écrivent les deux titres lémaniques.

« Caisse de résonance des conflits »

Pour le Tages-Anzeiger, le concours de l’Eurovision s’est transformé en une caisse de résonance des crises et conflits, suscitant bien des polémiques. « Mais c’est finalement la personne de coeur Nemo qui a donné le signal le plus fort et, espérons-le, le plus durable. »

Le média en ligne Watson rappelle que la controverse autour de la candidate israélienne a dominé à Malmö et a peut-être aidé la Suisse. Au milieu de ce tohu-bohu, le public et les jurys ont simplement voulu voir quelque chose de bien gagner ». Nemo a fait du super boulot – « Maximum Respect ».

Pour Blick.ch, Nemo a offert la « folie Eurovision » à Malmö. Et la Neue Zürcher Zeitung, revenant sur les manifestations anti-israéliennes, rappelle que le concours musical n’a jamais été apolitique.

« La classe musicale »

Pour la Weltwoche, Nemo a gagné de manière méritée. « Bien que l’événement organisé à Malmö, en Suède, ait largement fait penser à un…



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