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Lui il est cuit : voici l’homme bamoun qui chantait le vice-consul de France

Le décès du vice-consul de France à Douala Christian Hue, est tellement choquant que tout le monde se demande ce qui a bien pu se passer. La situation nous a été expliquée de fond en large et elle est totalement cauchemardesque, c’est le moins qu’on puisse dire.

On ne peut pas dire que le fonctionnaire français avait vraiment le choix, il devait agir et vite. Mais certainement pas se suicider. C’est une option que bien de personnes lui aurait déconseillé s’il avait eu l’ingénieuse idée de demander conseil.

Le corps sans vie de Hue a été retrouvé pendu à son domicile. Selon les premiers éléments de l’enquête, le compatriote d’Emmanuel Macron subissait une menace de l’ombre.

On le faisait chanter, comme nous le précise une source proche du dossier dont la vidéo d’explication nous est parvenue.

Le lanceur d’alerte Nzui Manto résume la situation en ces termes : « Le vice-consul de France à Douala s’est donné la mort suite à un scandale de pédophilie ayant tourné au chantage ».

En effet, « pour ne pas laisser le scandale éclater, le vice-consul avait accordé quatre cent quarante-six (446) visas Schengen à son maître chanteur, un certain Njoya Ismaël ».

Mais encore, précise la source « les mêmes individus ont également soutiré plus de neuf cent millions (900 000 000) millions à un directeur général de la SGBC par les mêmes méthodes ».

Nous avons également appris que des arrestations ont déjà commencé dans la ville, comment pouvait-il en être autrement. La mort de Christian Hue, même si c’est lui-même qui a décidé de partir de la sorte, ne resterait pas impunie.

La loi condamne fermement les actes de chantage ou toute autre tentative destinée à mettre la pression sur quelqu’un pour obtenir indument un avantage quel qu’il soit. C’est une affaire qui risque de faire beaucoup de remous dans la société.

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