à la uneCameroun

[Opinion] : le Cameroun au bord de l’implosion après le départ de Paul Biya

[ad_1]

Après 41 ans de règne fouareux sans partage, à l’heure du bilan, on brandi au peuple la haine et le tribalisme.

On peut désormais dire sans risque de se tromper que nous avons débloqué le dernier niveau de la haine dans ce pays. Des chefs traditionnels Ekang ont organisé ce vendredi le décès suivi des obsèques du président Maurice KAMTO. Ça craint. Le rubicon vient d’être franchi.

Quel est le message que ces chefs Ekang veulent transmettre ?

Pourquoi Kamto les fait-il peur?

On a toujours suivi des thuriféraires du régime que Kamto ne représente rien sur le plan politique au Cameroun. Mais pourquoi tant d’acharnement ?

En effet les chefs Ekang ont compris que Kamto est la seule alternative populaire pour l’alternance au Cameroun. Mais on se souvient encore l’humiliation qu’un sous-préfet avait servi à ces mêmes chefs lors du Covid en les offrant des seaux maçon. La misère de leur population ne les fait ni froid ni chaud. La seule chose qui compte pour eux c’est conservé les pouvoir pour le village.

Mais le reste des camerounais observent.

Nous au septentrion nous observons et attendons le moment opportun. Le nord avait remis le pouvoir aux Ekang et à accompagner ce pouvoir parce qu’on se considérait comme des frères. Mais aujourd’hui si il faille exclure d’autres camerounais pour leur origine et faire des passe passe entre les frères du village alors nous verrons la fin. Le Cameroun nous ai si cher que ce mauvais jeu ne doit pas être la solution.

Abou Ali, le fils du désert.



[ad_2]

Source link

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *